#OpenGov : la Haute Autorité participe à un atelier sur la confiance publique Actualités Publié le 31 octobre 2017 Augmenter la taille du texte Imprimer Partager Partager sur Facebook Partager sur X (ex-Twitter) Partager sur Linkedin Copier le lien Crédit photo : Open OverheidGuillaume Valette-Valla et M. Adusei Yann, respectivement Secrétaire général et adjoint au chef du pôle Communication et relations institutionnelles de la Haute Autorité, ont participé, les 23 et 24 octobre derniers à La Haye (Pays-Bas), à un atelier sur la confiance publique, à l’invitation de l’Open Governement Partnership (OGP) et du Ministère de l’intérieur et des relations au sein du Royaume des Pays-Bas.Au cours de ces deux jours, une trentaine d’experts internationaux issus de la société civile (Transparency International, Open State Foundation, Riparte il Futuro…), d’organisations internationales (OECD) et d’organismes gouvernementaux (Ministry of Finance of Finland, South Korean Ministry of the Interior and Safety, UK Cabinet Office…) ont partagé leurs expériences et leur regard sur l’apport des principes du Gouvernement ouvert dans le rétablissement de la confiance publique. https://twitter.com/HATVP/status/922462860768415744Dans ce cadre, le Secrétaire général de la Haute Autorité a présenté l’approche française en matière de régulation du lobbying et de promotion de l’intégrité des responsables publics. Les enseignements tirés de la mise en oeuvre du répertoire des représentants d’intérêts ainsi que du premier examen des déclarations d’intérêts et d’activités des députés de la XVème législature – publiées le 19 octobre dernier – ont conduit à un échange intéressant sur l’appropriation de ces enjeux par les personnes concernées. En outre, cet atelier a permis de dresser des solutions pratiques pour stimuler l’intérêt du public pour les données publiées par la Haute Autorité.Les nombreuses initiatives présentées durant ces deux jours ont mis en lumière des méthodes et des outils permettant aux institutions publiques d’être plus réactives face aux attentes citoyennes et plus souples et plus ouvertes dans leur gouvernance. La réussite de démarches de consultation publiques, à l’instar du projet « Gwanghwamoon 1st Street » lancé par la République de Corée, ou de sensibilisation du public aux enjeux liés à la transparence et à la participation publique, comme dans le cas de l’ « Open Government Week » organisée par le Département de la Fonction publique italienne, ont constitué des exemples concrets et effectifs qui pourraient être adaptés dans d’autres pays.à lire aussiPoint d’étape sur le répertoire des représentants d’intérêtsÀ ce jour, seuls 179 représentants d’intérêts sont inscrits sur le répertoire et 516 ont commencé les démarches d’inscription. Compte tenu des délais nécessaires de vérification, les demandes introduites après le 1er décembre 2017 ne seront pas assurées d’aboutir à une inscription au répertoire avant le 31 décembre 2017. Partager l'article Partager sur Facebook Partager sur X (ex-Twitter) Partager sur Linkedin Copier le lien