Le SPIO se réunit deux fois par an et a notamment été à l’initiative de la mise à jour de la recommandation de 1998 sur l’intégrité dans le secteur public.
Le SPIO se réunit deux fois par an et a notamment été à l’initiative de la mise à jour de la recommandation de 1998 sur l’intégrité dans le secteur public.
Cette délégation était composée de deux magistrats du tribunal de première instance de Tunis et de quatre magistrats et enquêteurs de l’INLUCC, l’Instance Nationale de Lutte Contre la Corruption.
Ce séminaire, co-organisé par l’Agence française anticorruption et l’Ecole nationale de la magistrature, présentait les différents éléments de la politique anticorruption française.
Le Groupe d’États contre la corruption est l'organe chargé de veiller au respect des normes anticorruption du Conseil de l’Europe. Il a publié un rapport qui analyse les principales tendances, les défis et les bonnes pratiques en matière de prévention de la corruption dans la législature et le pouvoir judiciaire.
Cette conférence, qui s’inscrivait dans le cycle « Regards sur l’actualité », a été l’occasion d’exprimer un souhait, dès le titre de son intervention : « Pour une culture de l’intégrité ».
Ce réseau réunit de façon indépendante et informelle des organismes de surveillance des forces de police et des autorités anti-corruption d’États membres de l’Union européenne et du Conseil de l’Europe.
Le dixième numéro de la lettre internationale revient sur les efforts, réformes et études menés pour faire face à ces enjeux, tant au sein des organisations internationales et de la société civile, qu’à l’échelle nationale.
Cette intervention a eu lieu dans le cadre d’un cycle international spécialisé d’administration publique (CISAP) organisé par l’École nationale d’administration (ENA) du 6 au 20 novembre.
La Haute Autorité, aux côtés de l’AGRASC et de l’AFA, a fait partie de la délégation française présente à Vienne lors de la conférence qui avait lieu du 6 au 10 novembre 2017 à Vienne.
La Haute Autorité a participé à une conférence organisée autour des résultats du 4ème cycle d’évaluation relatif à a prévention de la corruption auprès des parlementaires, des juges et procureurs.